Pour être en accord avec mes valeur. j’ai choisi l’éco-conception. Concrètement c’est quoi?
Le graphisme éco-responsable
La communication implique forcément de la pollution. Avec l’éco-conception, on cherche à être moins impactant en étant plus sobre.
On cherche d’abord la qualité avant la quantité.
Ce concept vient de Sylvain Boyer, un designer français, qui parle lui d’écobranding.
Pour qu’un graphisme ait le moins d’impact possible, on va réfléchir à son taux d’encrage et pratiquer l’éco-encrage.
L’éco-encrage consiste à utiliser moins d’encre sur un document et donc à privilégier le blanc quand c’est possible et limiter les aplats de couleurs,
Le graphisme éco-responsable est donc un graphisme assez léger qui préfèrent l’utilisation de couleurs dites éco-responsbales qui ont un taux d’encrage plus réduits mais aussi des polices d’écritures éco-responsables qui sont moins éncrés que certaines.
La production de documents pérennes qui ne sont pas marqués dans le temps permet aussi d’être éco-responsable.
Le choix du papier pour l’impression est évidemment très important. Il existe de nombreux papier dits « éco-responsables » comme le papier recyclé ou des papiers qui utilisent d’autres ressources que les arbres pour leurs productions, avec par exemple les Papiers Crush qui utilise les déchets agro-alimentaire comme l’agrumes, l’olive, le cacao.
Comment rendre un logo éco-responsable?
Version gourmande en encre
Version éco-responsable
Version éco-responsable +
Le numérique éco-responsable
On peut aussi agir sur le numérique pour avoir une communication responsable.
Certaines pratiques permettent de moins consommer d’energie : ne pas envoyer de pièces jointes trop lourdes dans les mails, privilégier les liens de transferts, supprimer les anciens fichiers sur le cloud…
Créer des sites web moins énergivores est possible.
La première étape consiste à bien penser le site en amont pour avoir un site qui va a l’essentiel, qui a une bonne expérience client dans la navigation sur le site.
La deuxième étape consiste à être vigilant sur le poids des images contenues sur le site, en effet ce sont-elles qui alourdissent le poids global du site.
Mais aussi, évier les outils superflus et les effets comme le scroll infini permet aux sites web d’être plus légers et donc d’être éco-responsables.
La dernière étape consiste dans le choix de son hébergeur. L’hébergement du site consomme beaucoup d’energie, il faut donc veiller à utiliser un hébergeur « vert » qui refroidi ses data-centers avec des énergies renouvelables, comme Infomaniak ou O2switch.
Pour mesurer l’impact d’un site, il existe un outil, il s’agit de l’Ecoindex, qui classe les site avec une note sur 100 et de A à G.
Vous pouvez vous rendre sur éco-index pour vous rendre compte de la polution numétique de votre site.
La page d’accueil du site Ecoindex permet d’inscrire l’adresse de son site pour voir quel est son impact environnemental.
Les résultats s’afficehent après un temps et vous découvrez si votre site a une bonne performence environnementale.